Esquisse de bilan de la politique pénale et sécuritaire du Gouvernement fédéral : tout fout le camp ?

« Il faut que tout change pour que rien ne change », disait Tancredi dans le célèbre roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, Le Guépard. Peut-on appliquer cette maxime au premier mandat du Gouvernement Michel – De Wever en ce qui concerne la politique pénale et sécuritaire ? Ou, au contraire, peut-on lui appliquer le célèbre adage conservateur « c’était mieux avant » ? En d’autres termes, le Gouvernement fédéral a-t-il fait preuve de continuité ou s’est-il inscrit dans une rupture par rapport à ses prédécesseurs ? Tentative de réponse, partielle et partiale.

Analyse de Manuel Lambert, Conseiller juridique LDH, publiée dans Bruxelles Laïque Echos (mars 2019)

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