Une méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière.
Concrètement ?
Nous couperons le livre en autant de partie qu’il y a de participant.es (max 15 => ce qui fera environ 10 – 15 pages à lire par personne). Nous donnerons une heure en solo pour que chacun·e puisse s’emparer de sa partie. Puis, nous reviendrons en grand groupe et chaque personne pourra restituer les deux ou trois idées phares (ou incomprises) de la partie qu’elle aura lue ainsi que ce qu’elle aura envie de partager dessus.

[“Faut-il en finir avec la police ?” La question se pose avec une nouvelle intensité depuis le mouvement mondial déclenché par la mort de Georges Floyd aux Etats-Unis. Alors que les violences policières sont de plus en plus visibles, l’image du gardien de la paix et l’idée que la police serait un service public tendent à s’effriter. Il est maintenant entendu que l’institution policière est la la garante d’un certain ordre, d’un certain régime de domination. Dans le contexte de défiance et de surenchère qui est le nôtre, il paraît moins pertinent de réfléchir à une énième réforme que de se demander comment résoudre nos conflits sans elle, comment la neutraliser, la priver de sa légitimité et de ses moyens. Défaire la police examine ces questions épineuses à partir des expériences, des problèmes et des débats qu’elles ont suscités. ] (Cette question ne reflète pas la position de la LDH sur la police mais le choix de ce livre invite à ouvrir le débat. Le texte est repris tel quel du 4ème de couverture du livre)


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