Pour un service minimum en prison durant les grèves… et un service maximum au quotidien

En 2016, le Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) et le Médiateur fédéral ont mis en évidence la situation dramatique des détenus lors des grèves d’agents pénitentiaires. Si le droit de grève des agents est incontestable, il n’en reste pas moins que ces grèves ne sont pas sans conséquences pour les détenus et le respect de leurs droits fondamentaux.

Télécharger la position LDH